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Pesticides / Envoyé spécial: l’inter-pro des pommes dépose une plainte devant le Conseil de l’Ordre contre un médecin

Nous diffusons ci-dessous le Communiqué de presse envoyé par l’association « Alerte des médecins sur les pesticides  » qui nous informe sur un fait que nous qualifierons « d’hallucinant! » Le Dr. Soulié s’est vu mise en cause au travers d’une plainte déposée devant le Conseil de l’Ordre des médecins par l’inter-profession Poires-Pommes suite à un reportage diffusé sur France 2 sur le sujet de la pomme. Ce serait risible si ce n’est pas une blague… Lire le CP ci-dessous.

>>> Pour celles et ceux qui doutent encore des conséquences sanitaires des pesticides lire l’expertise de la recherche médicale française ici.

>>> et pour celles et ceux qui n’ont pas vu cet excellent reportage d’Envoyé spécial rendez-vous ici.
« L’association nationale Poires-Pommes (ANPP) avait transmis une plainte contre le Docteur
Anne-Marie SOULIE devant le Conseil de l’Ordre de la Corrèze. La conciliation avait lieu le
vendredi 19 juin. Cette plainte avait pour objet les déclarations du Dr SOULIE au cours de
l’émission du magazine Envoyé Spécial, intitulée « Peut-on encore manger des pommes ? » et
diffusée le 5 mars 2015 sur France 2.
Que disait donc de si scandaleux le Docteur SOULIE, qui s’exprimait dans le cadre de l’appel
lancé par l’association « Alerte des médecins sur les pesticides » et signé par 1500 confrères ?
Qu’elle avait constaté, interrogée en tant que médecin de campagne dans une zone pomicole,
une « sorte d’épidémie de maladies neurologiques »ainsi qu’une franche augmentation
d’autres pathologies comme les cancers de la prostate.
La flambée des maladies chroniques est précisément ce que soutenait l’Appel des médecins :
nous ajoutions que ces constats de terrain étaient confortés par les données scientifiques, telles
que le rapport de l’Inserm de juin 2013 sur les liens entre pesticides et santé. Et affirmions
qu’il était donc grand temps d’en tirer les conséquences en matière de prévention et de mise
sur le marché de ces produits. Nous avons eu l’occasion maintes fois de le répéter depuis et
n’avons pas changé d’avis.
Lors de cette conciliation l’ANPP, qui a compris que les propos du Docteur SOULIE
n’étaient pas contraires au code de déontologie, a reconnu que sa plainte n’était pas fondée. »
« 

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