La seconde, parue ce 21 juillet, cosignée par notre porte-parole François Veillerette s’intitule « Le marché des #pesticides dangereux est hautement rentable pour les firmes chimiques européennes ».
Bien que se présentant comme une entité soucieuse de la préservation de l’environnement, l’Union Européenne continue de fabriquer pour le reste du monde ces produits qu’elle interdit sur son territoire, dénonce dans cette tribune un collectif de représentants d’ONG et de scientifiques.