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Depuis le 6 août 2020, nous multiplions les actions contre le projet de ré-autorisation des insecticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles annoncé cet été par le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie. Ces mêmes insecticides avaient été interdis par la France dans le cadre de la Loi Biodiversité au nom de leur caractère persistant dans l’environnement, qui les rendait dangereux pour la biodiversité et notamment pour les pollinisateurs telles que les abeilles. Jusqu’à ce jour nos actions sont multiples :

  • Nous avons rapidement réagi en lançant une pétition adressée au ministre de l’Agriculture, pour lui demander de ne pas accorder de dérogation aux betteraviers leur permettant d’utiliser de néonicotinoïdes en enrobage de semence la saison prochaine.
  • Le 17 août, 17 organisations dont Greenpeace France, le WWF, Nous Voulons des Coquelicots, Nature et Progrès ou encore Agir Pour l’Environnement se sont associées à nous pour interpeller le ministre de l’Agriculture par lettre pour porter cette même demande.
  • Nous avons par la suite mandaté Opinion Way pour interroger les français par sondage (échantillon de 1028 personnes constitué selon la méthode des quotas) pour connaître leur avis sur cette annonce de ré autorisation des néonicotinoïdes. Le résultat publié le mardi 25 août est sans appel : ce sont 69 % des personnes interrogées qui se disent opposées à de telles dérogations.
  • Le 7 septembre dernier, accompagnés 30 autres organisations, nous avons interpellé les parlementaires par lettre pour leur demander de voter contre ces dérogations ! Vous pouvez vous-mêmes interpeller vos parlementaires sur Shake Ton Politique 
  • Quelques jours plus tard, le 9 septembre, les représentants de Générations Futures ont été auditionnés sur le dossier dans le cadre de la Commission des affaires économiques et sociales de l’Assemblée Nationale. Si le Parlement suit le Gouvernement et légifère en faveur de cette dérogation, nous comptons attaquer en justice chacune des autorisations de mise sur le marché que l’ANSES pourrait délivrer, comme nous l’avions fait avec succès dans le cas d’un autre insecticide de la famille des néonicotinoïdes pour lequel nous avions obtenu gain de cause.

Toutes ces actions ont un coût et nous estimons à 10 000€ le coût total de cette nouvelle campagne contre les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles. Grâce à l’aide de 1% pour la Planète, tout don est doublé !

Rendez-vous sur le lien suivant pour soutenir notre action et ainsi préserver les abeilles  

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